Actualités / Focus

Dans son texte : Le quartier nantais de la création : quelles valeurs culturelles ? Pour quel intérêt général ?, Jean-Michel LUCAS analyse les enjeux et conséquences d’une politique d’économie créative, à travers l’exemple de Nantes.

A l’occasion de la sortie du livre IN VIVO – Lieux d’expérimentations du spectacle vivant, ARTfactories/Autre(s)pARTs et le collectif d’artistes autogéré Mix’ART Myrys ont organisé deux jours de rencontres les 31 mai et 1er juin 2013 à Mix’ART Myrys à Toulouse.

28 juin 2013 à la MEO
18 h : réunion d’information
19h : soirée de soutien

Quelles logiques de partenariat doivent s’inventer entre ces initiatives citoyennes et les collectivités publiques ?

Dans la perspective d’un forum national début 2014, Actes if et l’Ufisc invitaient élus, techniciens et acteurs à échanger sur les logiques de partenariat à inventer entre les lieux intermédiaires et les collectivités publiques.

« Si l’on veut financer une économie de la créativité, de l’innovation, du savoir, il faut aller vers une plus forte socialisation non seulement des risques liés à la production, mais aussi des résultats financiers obtenus à l’aval des filières. »

Les nouveaux modèles d’organisation de la ville laissent peu de place aux lieux et aux projets qui travaillent la question de l’espace public. Et quand ils parviennent à exister, c’est en employant des méthodes et selon des conceptions parfois très différentes. En confrontant deux expériences radicalement opposées, cet atelier de réflexion a permis d’interroger les modes d’action possibles des acteurs artistiques et culturels dans le contexte ultrasensible de la ville dite créative.

L’appel a déjà reçu les signatures de 3750 personnes, associations et fédérations.

Les organisations signataires de la plateforme du comité de suivi sur le régime d’assurance chômage des annexes 8 et 10 appellent à une Assemblée généralele 17 juin 2013 à 20h30 au Théâtre de la Colline à Paris.

L’ouvrage New Times, new models compile des contributions sur la question de l’indépendance et plus précisément sur les modèles de gouvernance interne et de relations extérieures des centres culturels indépendants européens.

Par un courrier en date du 25 février 2013, les services du Patrimoine de la Ville de Marseille ont signifié aux Pas Perdus et à L’Art de Vivre la résiliation de leur bail et les enjoignent de libérer les locaux qu’ils occupent au Comptoir de la Victorine sous un mois.